Jacques Lafaye

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Les cultures ibériques en devenir. Essais publiés en hommage a la mémoire de Marcel  Bataillon (1895-1977), Preámbulo por Georges Duby; Bibliografía  por Charles Amiel; L´itineraire intellectuel de Marcel Bataillon. Du sens littéral à la métahistoire, (pp. 57-120) por Jacques Lafaye;  Fondation Singer-Polignac, 1979. Colaboraciones políglotas de destacados hispanistas y americanistas de Europa y América. Editor J. L.

le 22 Mars 1978. 

Mon cher Collègue, 

J´ai lu ou relu avec beaucoup d´intérêt votre article sur Marcel Bataillon. On ne peut pas mieux faire ressortir sa personnalité, faite de finesse, de profondeur, d´autorité nuancée, du respect de la pensée des autres. On ne peut pas mieux évoquer son érudition, son esprit de synthèse- et vous faites mieux comprendre aux non-hispanisants l´importance exceptionnelle de son oeuvre (…)Vous terminez par un commentaire de Bataillon à propos d´une citation de « L´Avenir de la science » de Renan. Je suis frappé de la parentée et de pensée et de style de ces deux grands esprits.

On doit vous remercier d’avoir fait cet effort d´évocation d’une pensée qui ne peut que grandir avec le recul du temps.(…) 

 Etienne Wolff 

(De la Académie Française y de la Académie des Sciences, Administrateur honoraire del Collège de France).

Fondation Singer -Polignac

Cher collègue et ami, 

     Le Conseil d´administration de la Fondation Singer-Polignac, dont Marcel Bataillon a fait partie de longues années et jusqu´à la fin de sa vie, a décidé de rendre hommage à sa mémoire en publiant un volume de Mélanges. 

(…) Avec d´autres amis de Marcel Bataillon, ses disciples pour la plupart, vous avez bien voulu accepter de collaborer à cette « Miscelánea »; permettez-moi de vous en remercier au nom de la Fondation. 

(…) mes sentiments cordialement dévoués. 

Jacques Lafaye

Bataillon eût aimé vous retrouver parmi les siens. 

20 oct. 78

Grand merci, Cher Monsieur, d´avoir eu l´amabilité de m´adresser un specimen de l´Hommage à Marcel Bataillon.

Je vais le lire avec ferveur. Je le connaissais bien ainsi que son père, le découvreur de la parthénogénèse traumatique. Je vais en parler en décembre sous  la coupole à la séance des Prix de notre Académie! Magnifique famille!

Je vous prie de croire à mon excellent souvenir.

R. Courrier

(Secrétaire perpétuel de l´Académie des Sciences, Professeur honoraire au Collège de France)

Paris, le 6 avril 1978. 

Cher Monsieur, 

     Je suis heureux de pouvoir vous redire tout le plaisir que j´ai pris à la lecture de votre bel essai sur Marcel Bataillon. 

Soyez-en chaleureusement félicité. (…) 

Alain Horeau

(de l´Académie des Sciences, Administrateur du Collège de France, Président de  l´Asssemblée des Professeurs )

Paris, le 18 avril 1978

Merci, cher ami, de votre lettre du 5 avril et du sommaire de l´Hommage à Marcel Bataillon (…) 

J´ai été heureux de pouvoir assister le 17 février dernier à la cérémonie que vous aviez si bien organisée. 

(…) Avec tous mes voeux et mes félicitations renouvelées, je vous prie 

d´agréer, cher ami, l´assurance de mes sentiments les plus fidèles et cordiaux.

Jean d´Ormesson.

(Secrétarire Géneral du Conseil International de la Philosophie et des Sciences Humaines)

Cher Monsieur,

Vous avez, avec la plus grande pertinence, mis en évidence ce qu´était la méthode de Marcel Bataillon et ce qu´elle peut avoir, pour nous autres historiens, d´exemplaire; et vous avez su montrer le magnifique chercheur qu´était notre ami. Permettez-moi de vous féliciter pour ce très beau texte.

Rúbrica.

Georges Duby  (Collège de France)

Paris, 26 juin 1976.

 

Cher ami,

… c´est  un morceau tout à fait original et intéressant auquel vous avez abouti ; tout un pan d´histoire intellectuelle, d´ibérisme français, qui apparaît à travers Bataillon, lequel n´aurait pu rêver historien plus scrupuleux et exégète plus autorisé.

Pierre Nora, (NRF-Gallimard)

13 août,  79.

Cher collègue,

…Je suis très touché par votre dédicace, et plus encore par la qualité exceptionnelle des pages que vous consacrez à un homme absolument remarquable. 

Rúbrica

Fernand Braudel

Paris, 20 septembre 1979. 

(Ecole des Hautes Etudes et Collège de France)

8-IX-79

Cher ami, merci de votre lettre (…) 

merci aussi pour votre beau texte sur Bataillon. Je connaissais l´homme, mais beaucoup moins sa vie et son oeuvre, et j´ai appris en vous lisant maints détails que j´ignorais.  Rentré hier soir à Paris, je repars la semaine prochaine à Québec pour une semaine environ. À bientôt  et cordialement, 

Claude Lévi-Strauss. 

(Laboratoire d´Anthropologie sociale, Collège de France)

24 août 1978 

Vattetot sur Mer.

Mon cher ami, 

    Votre envoi m´a rejoint ici commme vous le supposiez. Bien que la Fondation ait la générosité d´offrir un exemplaire à chacun des collaborateurs, je souscris de façon à en avoir un de plus que je pourrai, le cas échéant, donner en cadeau à une bibliothèque ou à un particulier. Je pense que vous êtes à Paris et que vous n´avez pas dû profiter longtemps de l´aimable hospitalité de Paco Morales. Je pense aussi que la préparation de ce volume doit vous donner, comme on dit: bien du tintouin. Mais vous avez rassemblé un ensemble de collaborateurs qui me paraît très représentatif de l´hispanisme international, bien que certains noms soient absents, et le succès vous compensera de vos efforts. (…) 

Mes sentiments fidèles & cordiaux. 

Robert Ricard 

(Professeur honoraire à la Sorbonne)

Madrid 25 abril 78

Distinguido amigo, 

Recibo su carta en la que nos solicita autorización para reproducir la « Carta a un español residente en Paris », de nuestro inolvidable amigo Marcel Bataillon, en el volumen de estudios que va a publicarse en homenaje a don Marcelo. Con el mayor gusto concedemos dicha autorización. ¿Sería posible que, cuando apareciera el volumen, nos enviaran un ejemplar, como service de presse, a fin de comentarlo en INSULA? Mucho se lo agradeceríamos. 

Reciba los cordiales saludos de su affmo. 

José Luis Cano 

8-iii-78

Mi querido amigo: 

      me llega hoy su tercera comunicación en relación con el homenaje a la clara memoria de don Marcelo (a quien propuse para un doctorado (honoris causa) en Harvard el año pasado, ya imposible) (…) 

Dígame si le es útil, pues me gustaría muchísimo, como ya puede suponer, sumarme al homenaje a don Marcelo, caballero español de todos los siglos. (…)

Dándole de nuevo las gracias, reciba el saludo afectuoso de su amigo y lector, 

Juan Marichal. 

(Harvard University)

Padova, 16 ottobre 1978

Egregio Professore, 

   ho ricevuto il dépliant del volume « Les cultures ibériques en devenir » di cui ho proposto alla nostra Biblioteca l´ordinazione. (…) 

    A proposito di autori devo dirle con rincrescimento che tornando con più tranquillità sulla pagina delle note in calce mi sono accorta di alcune inesattezze. (…)

Le saluda su afectísima

Margherita Morreale. 

(Università di Padova)

Barcelone, ce 15 mai 1978. 

Monsieur le Professeur et cher ami, 

(…) Je voudrais pourtant que mon nom figure comme adhérent à cet hommage posthume à celui que j´ai estimé et vénéré très sincèrement. Peut-être vous aurez déjà vu le nécrologe latin que je lui ai consacré dans le dernier fascicule de la revue « Archivum historicum Societatis Iesu ». (…) 

          Veuillez agréer, M. le Professeur, l´expression de mon amitié la plus dévouée. 

Miguel Batllori  (S. J.)

(De la Real Academia de la Historia)

Lima, 20 de junio de 1979. 

Muy recordado amigo, 

Con vergüenza compruebo que aún tengo pendiente de responder sus lineas de 27 de marzo. (…) Le ruego pues, disculpar mi morosidad. Espero que no se repita (…) 

¿Salió ya el volumen de homenaje, Les cultures ibériques en devenir? Puede usted figurarse mi impanciencia por tenerlo a la vista, en razón de las firmas que han colaborado en él, todas ilustres (menos una!)y de la variedad de temas abordados. 

Le deseo unas muy felices vacaciones y un reparador descanso estival. 

Suyo siempre affmo. 

Guillermo Lohmann Villena. 

(Presidente de la Academia de Historia Peruana)

31 de marzo de 1978

Mi estimado amigo: 

       Me es grato enviarle, debidamente firmada, mi adhesión al homenaje a Marcel Bataillon. Es un homenaje merecidísimo, en expresión de admiración y recuerdo, y me uno a él de todo corazón. 

        Saludos muy cordiales de mi hija, de mi esposa, y un fuerte apretón de manos de

José Arrom. 

(Yale University)

Ciudad de La Habana,

Marzo 9 de 1978. 

« Año del XI Festival »Â 

Muy estimado amigo y colega: 

Muy agradecido por su carta de 22 de febrero que contesto inmediatamente. En efecto, hace apenas dos meses estoy al frente de esta Biblioteca esforzándome por aprender otro oficio. (…) 

Me honra su invitación a participar en el homenaje que, como mandato de conciencia me proyecta y Ud. dirige, al ilustre profesor Marcel Bataillon. 

(…) y crea en la amistad cordial y perdurable de, 

Julio Le Riverend. 

(Biblioteca Nacional José Martí)

29-1-1978

Sr. D. Jacques Lafaye

Mi querido amigo:

     Ya puede V. imaginar cuánto me hubiese gustado colaborar en ese Homenaje al maestro Bataillon, pero con esa premura de tiempo me es imposible, porque tengo que escribir otros dos homenajes comprometidos hace unos meses. Lo siento muy de veras (…) 

       Pero me he alegrado mucho de tener noticias suyas directamente, porque no dejo de preguntar a los amigos por V. 

Un cordial abrazo de su viejo amigo y colega. 

Blecua. 

(Universidad de Barcelona)

Tübingen, 8 de agosto de 1978. 

Mi querido amigo y colega: 

      Discúlpeme de nuevo el retraso. Si ya ha decidido definitivamente los títulos en la tabula gratulatoria del homenaje a nuestro llorado M. Bataillon, estaré conforme con el que me haya puesto.  Como catedrático aquí no se usa, lo mejor sería poner « de la Real Academia Española, Profesor de la Universidad de Tübingen ». 

      Dámaso Alonso es en este momento Director de la Real Acadmeia Española, y miembro de la Real Academia de la Historia. 

       Blecua no es sino correspondiente de la Española. Como seguramente merecería ser de número (la razón es que nunca ha residido en Madrid), seguro que es mejor no indicar esta categoría menos honrosa, y poner Catedrático de Barcelona. 

             (…) Me iré dentro de unos días a Madrid, para regresar aquí a primeros de octubre. Me falta aún el semestre de invierno, y en febrero me jubilaré y me instalaré en Madrid. 

Reciba muy afectuosos saludos de su amigo y s. 

Antonio Tovar. 

(Real Academia Española)

« Mi muy querido amigo, recibí ayer el prospecto correspondiente al libro que se proyecta publicar en homenaje al llorado maestro Marcel Bataillon. (…) Felicito una vez más a los organizadores de un homenaje tan justo a una personalidad insigne, a la que tanto admiré y quise (…) »

Rúbrica

Agustín Millares Carlo

Las Palmas de Gran Canaria, 30 de agosto de 1978.

 

« Mi querido amigo: 

Mucho le agradezco su recuerdo de invitarme a la reunión en la Fondation Singer-Polignac con ocasión de la entrega del libro de homenaje a la memoria de Marcel Bataillon (…) »

Rúbrica

Pedro Sáinz Rodríguez.

Madrid, 7 de mayo de 1979. 

 

 « Al profesor Jacques Lafaye, digno heredero de la cordial amistad que profesé a su maestro Marcel Bataillon ». 

Rúbrica

Pedro Sáinz Rodríguez

29 de septiembre, 1978.

3 de mayo de 1978. 

Mi querido amigo: 

Muchas gracias por el envío del índice del homenaje a la memoria de Marcel Bataillon. Creo que por la calidad de las firmas representadas y por los temas que ofrecen, será una obra de importancia, y no indigna del recuerdo de don Marcelo. 

      Le felicito a usted por su excelente y eficaz organización. Me imagino el mucho trabajo que le habrá ocasionado, y el que todavía habrá de ocasionarle ver el libro llevado a su realización impresa. 

       Mis cordiales saludos y buena amistad, 

Luis Monguió. 

(University of California, Berkeley)

 16-I-78

“Querido amigo Lafaye:

(…) Ahí va un xerox del artículo de Bataillon en NRFH, XXIV. Que marche bien esta “sala” en el Collège y, por otra parte, que le sea a Usted grato, como lo será sin duda, preparar su trabajo para el Homenaje al gran don Marcelo. Y que el año “nuevo” (bastante nuevo todavía) les traiga además todo género de satisfacciones.  

       Muchos recuerdos de « doña Dina » – hasta esa grafía suelo atreverme- y míos.

Lo abraza 

Raimundo Lida 

(Harvard University)